Si vous saviez seule dans ma chambre comme je souffre,
J'ai le mal de l'ado en manque à bout de souffle.
Eux ils sont forts, moi je ne suis rien,
Rien qu'un môme en tort face à l'adulte, je le sais bien.
Ne rabaissez pas un jeune qui peut paraître à l'abri,
Car vos mots le pousseront à mettre un terme à sa vie